Small town stories

Comme le dirait cette chère Blair Waldorf, non mais, "who decorates these places anyway?".

Je me suis posée la même question en entrant dans la chambre d'hôtel hier. Pourquoi les couvre-lits sont toujours hideux, peu importe le nombre d'étoiles dont peut se targuer l'établissement? Et d'ailleurs, c'est basé sur quoi, le nombre d'étoiles? Sur le prix du menu au restaurant?

Parce que pour un quatre étoiles, c'est horriblement BS. Quoique, je m'attendais pas à grand chose en sachant en partant qu'internet est seulement accessible des salles de conférence...! Donc je suis dans un espèce d'isoloir, avec un gros fil jaune canari branché dans mon portable pour écrire ce post de... de quoi au juste? De désespoir? D'ironie? Je n'en sais trop rien...

Tout ce que je sais, c'est que je suis en retard dans mes travaux. Et dans mon étude. Et que on m'a chargé 10$ pour 2 petits pains et du riz aux légumes parce que c'est la seule chose que je me sentais capable de manger (je me remets d'une affection gastro-intestinale.. ou, comme le dirait un certain médecin, d'une "petite entérite"... comme si c'était le temps d'attrapper ce genre d'affliction monumentale!) ... parce que ce sapré motel n'offre pas de menu à la carte les jours de buffet! Non mais, c'est quoi l'affaire? Vous êtes un hôtel quatre étoiles ou vous faites juste semblant??

Pourquoi j'ai accepté de venir ici?

Hahaha et je viens tout juste de remarquer que la fenêtre de la salle où je me trouve à l'instant donne sur la "Ferme Ferland"! That's hot!