vendredi 9 mars 2007

Un coeur n'oublie jamais...

Après 2 jours intensifs de travail, je suis bien heureuse de tomber en weekend... pour mieux me plonger dans mes livres! Ah, les joies de la vie universitaire!


Vous savez comment je me sens aujourd'hui? Comme cette pub délirante de Diesel:
Bring on the whips!


Bref retour sur le travail... quelques points marquants des deux derniers jours en fait. D'abord, Anatole. Il n'a pas cessé de me tourner autour (on travaille dans le même bureau, mais c'est très très grand et nos espaces de travail sont pratiquement à l'opposé l'un de l'autre... c'est donc pas vraiment par hasard qu'il était dans le coin)... et de m'envoyer des messages. En fait, comble du ridicule, ses collègues me narguaient car ils prétextaient que je l'empêchais de travailler! Mais je crois que la cerise sur le gâteau, c'est quand mon boss m'a demandé si Anatole avait passé la journée à venir me déranger... needless to say, j'ai un peu rougi... tout le monde, mais alors tout le monde est au courant! Ça me dérange pas vraiment tant que ça... en fait, ça me fait plutôt rire. Le pire, c'est qu'il sait que je sais (c'est comme pas mal évident...) et qu'il pourrait avoir ses chances. Mais il gâche toujours tout... quand il gagne des points, il s'empresse de faire une connerie quelconque et hoplà, il s'enfonce. Physiquement, il est pas si mal mais il aurait besoin d'un relooking! Pas mal de points jouent en sa défaveur par contre... l'amour et le travail, ça ne fait jamais bon ménage. Surtout dans une compagnie où la direction est plutôt rapprochée des employés... et pour quelqu'un comme moi qui est dans une situation privilégiée... enfin, on verra la prochaine fois que je reviens! Je crois que ce sont plutôt mes hormones qui s'entêtent à vouloir lui donner une chance, parce que je sais pertinement que ce genre de relation, ça ne fonctionnerait jamais et ça me causerait beaucoup, beaucoup de tort...

Mais bon, vraiment, le highlight de ma journée, c'est l'appel de Paul, un gars vraiment cute avec qui je travaillais cet été... Je me suis jamais vraiment avouée à quel point il me plaisait avant aujourd'hui. Quand j'ai entendu sa voix au téléphone, j'ai ressenti des papillons dans mon estomac... après 6 mois sans le voir, ni penser à lui, j'aurais jamais pensé me sentir aussi affectée! Il ne s'est rien passé entre nous, puisqu'il a une copine depuis assez longtemps... en fait, ils demeurent ensemble. Mais il y a comme cette rage animale en moi quand je suis avec lui. Ce désir... normalement, j'ai beaucoup de respect pour cette institution qu'est le couple et JAMAIS je ne mets les pieds dans les affaires de personnes qui se fréquentent (du moins, quand je sais que couple ou intérêt il y a...). Pourtant, avec Paul... je serais prête à tout. Ça me fait un peu peur. C'est un genre de crush qui te rentre dedans, qui te colle à la peau et qui obsède tes pensées. En sa présence, j'ai envie de me transformer en fauve et de le dévorer. C'est grave...

Et c'est surtout la première fois que je perds la carte au téléphone. Je crois pas qu'il s'en soit rendu compte, mais moi, j'étais toute rouge et très TRÈS embarrassée! Thanks god, il n'y avait personne autour de moi à ce moment là... après avoir raccroché, j'avais un espèce de sourire niais, fendu jusqu'aux oreilles. Juste à bloguer à propos de Paul, c'est fou comme j'ai envie de lui...

Ah, soupir. Passez moi les chocolats...

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