Je suis une vraie Québécoise. J'adore la poutine et je ne me gêne pas pour le dire. Bien que j'aie horreur de notre sport national (moi, le hockey, PAS capable!), notre bouffe nationale par contre... bring it on! Bien entendu, je suis une vraie fille, alors je dois consommer la poutine avec parcimonie. Mais parfois je me laisse tenter par le festival des calories, surtout après un long après-midi dehors à faire semblant d'être une jolie patineuse gracieuse autour de l'anneau du parc près de chez nous. D'ailleurs, j'ai l'impression de prendre du mieux (je me suis racheté des patins cette année, après un bon huit ans d'absence sur la glace!), et je me sentais particulièrement douée en cette magnifique journée ensoleillée. Enfin, jusqu'à ce que je quitte la patinoire... trois pas dans la neige et je me retrouvais les quatre fers en l'air... le visage rouge rouge rouge! Je crois que les infints (notez la référence subtile à une certaine émission au coeur plein de raison...) et leurs parents ont du trouver la scène drôle, alors que moi j'étais plutôt morte de honte. Mis à part un énooorme bleu sur la fesse gauche (becquez bobo, des volontaires?), et surtout, à mon orgueil, je vais bien.
Mais bon, la poutine. J'en ai eu envie toute la semaine, mais je préférais (et de loin!) m'abstenir d'aller manger au restaurant pendant que je peux profiter des délicieux plats maison de papa et maman ;) Enfin, l'envie a pris le dessus et j'ai décidé de me faire une poutine pour souper. Résultat? Je pense que je ne volerai pas la clientèle d'Ashton avant un bon bout encore... Au moins mon craving est satisfait.
Celui-là, du moins.
Celui-là, du moins.
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